Suprême de volaille. Poêlée d’oignons et tomates cerises.

[Sous bois...] 🍄 Un champignon en chasse un autre! Nous abandonnons le cèpe pour quelques trompettes de la mort. Nous l’avons choisie pour accompagner un suprême de volaille. Nous avons réalisé une crème relevée d’une pointe de piment. La cuisson autour de l’os permet de conserver une viande plus moelleuse. Nous préférons cuisiner la volaille en suprême plutôt que de simples filets.

Ave Salade ! Ce n’est ni la version de Cesare Cardini, restaurateur immigré italien qui proposa un soir d’affluence dans son restaurant de Californie, une salade avec une sauce réalisée avec ce qu’il pu trouver dans son frigo. La recette rencontrant du succès, il décida de la mettre à la carte. Ni la version de cet autre restaurateur, lui aussi italien, Giacomo Junia qui aurait choisi de mélanger à sa sauce un peu de parmesan ainsi d’autres ingrédients lui rappelant son Italie natale. Il aurait baptisé ainsi sa salade pour rendre hommage à l’illustre Jules César…

Ceci dit les 2 histoires nous plaisent ! Dans la première, il est fait appel au fameux « sens du placard ». Lorsque l’on cuisine avec ce que l’on a sous la main. Quand la contrainte a finalement du bon. La seconde a, quant à elle, sa part de nostalgie et, plonge dans ses racines. Une forme de quête d’un goût passé d’un goût qui flaire bon les souvenirs. Il est toujours interessant de connaître l’origine d’un plat, ou bien d’en inventer une...

[Vaincre...] 🐓Le télétravail a du bon. Est-ce la nouveauté ou un certain sentiment de culpabilité [des vacances qui n’en sont pas..] mais notre première journée de confinement a été plutôt productive. Nous avons établi des règles et, avons investi chacun un espace libre pour installé nos postes de travail. On ne s’interdit pas quelques pauses de thé et/ou café qui rappellent le lointain souvenir de la machine à café. Côté cuisine… Nous poursuivons nos petites suggestions de recettes. Si certaines paraissent un peu compliquées d’autres sont hyper simples et il suffit parfois d’une petite touche d’épices ou autre pour donner un peu de caractère à un plat. Nos placards ne regorgent pas forcément de pâtes et de farine [du moins pas plus que d’habitude…] mais sont remplis d’épices en tout genre. Il en suffit généralement d’une pincée pour teinter une assiette. Pour cette suggestion, nous avons cuisiné un suprême de volaille. nous préférons ce morceau car il a l’avantage, avec la présence de l’os, de permettre à la viande de ne pas trop se dessécher. Nous avions chargé dans notre panier quelques carottes. Il est aujourd’hui assez facile d’en trouver de couleurs différentes. Nous tenions aussi à souligner que nous nous efforçons dans la manière du possible de suivre une alimentation équilibrée. Si nous ne consommons pas tous les jours de la viande ou encre du poisson [cf notre rubrique consacrée…], nous sommes conscients que ces derniers recèlent des nutriments essentiels à notre alimentation que l’on ne peut pas trouver ailleurs. Nous sommes aussi convaincus qu’un aliment pris de manière isolée n’a pas vraiment « de valeur », il faut l’intégrer dans un tout et considérer davantage les combinaisons alimentaires. Les Nutriscores nous font gentiment rigoler. Même si il est bon de se soucier de son alimentation, comment faut-il interpréter qu’un soda « dépourvu » de sucre soit mieux noté que notre bon vieux roquefort. [Parenthèse fermée…]. Nous avions chargé dans notre panier quelques carottes. La carotte contient plein de caraténoïdes qui ont notamment des propriétés antioxydantes et…[bla-bla] limiteraient les risques cardiovasculaires, le vieillissement des cellules…Au passage, pour que ceux-ci soient bien assimilés par l’organisme, il faut compter sur une certaine dose de gras :-)…