Recettes de cuisine rapide de Les Gourmands disent

Réaliser son propre jus de tomates est si facile; à condition d’avoir les bons ingrédients, bien sûr ! Cela tombe bien les tomates sont délicieuses et abondantes à cette période de l’année. Nous avons préparé un jus de tomates assez neutre. vous pouvez aisément vous permettre « tous » les écarts en ajoutant du poivron, du concombre,…des herbes aromatiques comme le basilic,…ou encore du piment.

Pour cette suggestion, nous l’avons tout juste aromatisé de sel et de poivre. Nous avons ajouté un peu de livèche [ce céleri perpétuel aux saveurs puissantes].

Couleurs et fraîcheur au menu du jour. Une suggestion autour de la livèche. Cette plante aromatique que l’on prénomme aussi céleri perpétuel a une saveur plus intense que le céleri commun. Un peu poivré…un petit air de roquette ? Nous aimons l’utiliser en salade mais aussi aussi pour réaliser nos plats mijotés du fait de sa saveur intense.

[Sursis...] 🐏 Histoire de balayer le lourd dilemme « fromage ou dessert », nous préférons consommer le fromage en début de repas. Ce dernier tient une part [trop?] importante dans notre liste de course. Une semaine un peu compliquée et, pas le temps de passer chez notre fromager pour remplir notre plateau. Nous avions en réserve un dernier fromage: une brousse de lait brebis, nous avons improvisé une petite entrée. Nous avions préparé il y a quelques semaines de petites tomates au vinaigre. Nous avons joué avec quelques aromates et,…le tour était joué.

[Petits trucs] 🧀 🔵 Une petite suggestion Vite Fait, Bien Fait à partager pour vos apéro…

Nous avons dans nos placards un sucre non raffiné, un sucre complet. Celui-ci est directement issu de la canne à sucre. Un petit clin d’oeil à la Guadeloupe qui est l’un des gros producteurs de canne à sucre. Si, aujourd’hui la canne à sucre alimente principalement la fabrication de rhum, l’activité sucrière a eu sa période faste dans les années 60. La crise sucrière étant passée par là, il ne subsiste plus, sur l’île, qu’une seule unité de production: la Sucrerie Gardel [que l’on peut d’ailleurs visiter durant la période de ramassage de la canne entre février et juin]. Elle est située au Moule sur Basse-Terre où les rivières abondent.

Petit aparté sur les quelques produits de transformation obtenus avec la canne à sucre...
Les sucres. Selon leur raffinage, ils contiendront plus ou moins de résidus de mélasse ce qui leur donnera des teintes plus ou moins foncées. Le sucre complet n’est pas raffiné, à l’extrême le sucre blanc contient 100% saccharose. Le sucre roux contient 95% de saccharose et 5% de mélasse ce qui lui donne cet aspect brun.
La mélasse destinée notamment à la production de rhum (rhum de mélasse),
La bagasse qui est utilisée comme bio masse pour la production d’énergie (d’électricité et de vapeur),
Les écumes destinés à l’amendement des sols agricoles en calcium.
Le sucre complet, non raffiné, celui qui nous intéresse, possède de nombreuses qualités. Comparé au sucre blanc…
Il a un pouvoir sucrant plus important ce qui permet d’en réduire les quantités dans les préparations culinaires.
Il est moins calorique: presque moitié moins! Il contient en fait 20% d’eau.
Il contient des nutriments comme calcium, le potassium ou encore le magnésium: 200 à 250 fois plus! ou encore des vitamines A, B ou C.
Le sucre blanc paraît ainsi bien « vide ».
De plus, le sucre complet possède une saveur particulière qui en fait un délicieux ingrédient pour aromatiser des préparations comme des pana cotta. Vos crèmes auront ainsi une couleur caramélisée et, des saveurs entre le café et la réglisse.

[Consommé frais!] Concombre et crème, un classique! En général, nous faisons marcher la mandoline [ou le couteau] pour couper de fines rondelles de concombre que nous consommons avec une bonne cuillère de crème fraîche épaisse. Consommé cru, le concombre Noa fait partie de nos préférés. Sa peau légèrement épineuse et, un peu épaisse, croque sous la dent. Elle a une saveur assez prononcée. Pour cette suggestion, nous avons choisi de le cuisiner en consommé. Nous avons fait infuser et, cuire notre concombre dans un volume de crème liquide à petit feu. Nous l’avons ensuite passé au chinois. Nous l’avons assaisonné puis réservé au frais quelques heures. Au moment de servir, nous avons coupé en petits dés un morceau de concombre frais puis dressé nos assiettes de consommé frais.

Au tour du chèvre de passer en salade. Voici une petite suggestion autour du chèvre frais. Nous nous sommes pris d’affection pour un pot de pâte d’olives noires [de Nyons®]. Une petite assiette à déguster avec un bon pain grillé.

Les choses les plus simples sont souvent les meilleures. Alors que le barbecue crache ses braises, on découpe quelques tranches un peu épaisses d’aubergines. Un filet d’huile d’olive, quelques brins de thym frais, une pincée de sel, un tour de moulin à poivre. Le temps de partager un verre avec quelques amis, c’est prêt... C’est l’été, on est bien…

[Entrée dans les beaux jours!] Nous nous sommes pris "d'affection" pour l'artichaut violet. Il fait parti de nos "must have" et, vient garnir notre panier à provisions chaque samedi sur notre marché. Pour cette nouvelle suggestion, nous avons profité d'un petit chorizo. Celui-ci donne un peu de caractère au plat sans couvrir la saveur de l'artichaut.

[A croquer!] Ce matin, sur notre marché nous avons chargé dans notre panier quelques artichauts poivrade [ou petits violets si vous préférez!]. Cette variété d’artichaut est fréquente dans le Sud. Moins chez nous. Pourtant, je n’ai pas souvenir d’en avoir vus autant sur l’étal de nos petits producteurs. Nous avons tendance à nous dire que le Sud remonte au Nord. Il nous est arrivé d’entendre les cigales. Pas celles vendues dans les boutiques de souvenirs lorsque l’on descend dans le Midi mais des biens vivantes. Avec ces petits artichauts violets, la Provence vient à nous… Jeunes et tendres dépourvus de foin et, peuvent se manger presque entiers. Nous étions davantage habitué aux gros spécimens. Je me souviens enfant du véritable marathon qu’il fallait » endurer » avant d’atteindre le coeur et, du monticule de pétales laissées dans nos assiettes. Saviez vous que l’artichaut est de la famille des chardons. En quelque sorte, un chardon domestiqué qui si on l’oublie au jardin présente une fleur toute aussi belle que sa cousine sauvage. Pour bien choisir un artichaut, il est conseillé de mettre de côté ceux qui présentent des tâches noires ou aux pétales insuffisamment serrées. Pour le consommer cru, il est aussi préférable de choisir de jeunes têtes. Pour notre recette, nous avons choisi de les agrémenter de jus de citron, d’un simple trait d’huile d’olive, de fleur de sel et de quelques copeaux de parmesan.

[Tout n'est que gourmandise...] 🍂 Le choix d’un vin en cuisine a son importance. Il arrive parfois, lorsque nous n’avons pas eu la main heureuse, de réserver les bouteilles décevantes pour la réalisation de recettes. Nous avons connu une série malheureuse au milieu de laquelle on trouve un vin blanc épicé. Avec l’arrivée des premières figues, nous avons multiplié les dégustations et, les essais de recettes. Pour cette suggestion, nous avons fait pocher nos figues [violettes] dans ce vin épicé. Nous avons préparé quelques panna cotta en reprenant notre recette autour de la mûre. À chaque panna cotta, sa saison. Nous avons pris soin de bien doser notre poudre d’agar-agar de manière à pouvoir démouler nos panna cotta. Nous avons aussi choisi de ne pas les sucrer comme nous les accompagnions d’un sirop. Histoire d’équilibre…

[Crémeuse et de saison!] Nous avons plutôt l’habitude de préparer des panna cotta en petits pots. Cela permet de les stocker plus facilement au réfrigérateur et, de n’avoir à dégainer qu’une seule cuillère. Cette version n’est pas si éloignée, nous avons simplement utilisé des moules en silicone et, peut-être un peu plus d’agar-agar pour la tenue. Nous préférons cette algue séchée aux feuilles de gélatines. Il faut bien la doser au risque d’obtenir un bloc compact et, dire adieu à la gourmandise. La panna cotta, presque essentiellement composée de crème, doit être crémeuse! Nous avons profité des premières framboises et, [presque] premières fraises…

En attendant les premières tomates et, parce que nous voulions tester une nouvelle mozzarella à la fleur de lait. Nous avons réalisé cette petite recette. Nous aimons au moins une fois l’an faire le plein auprès de producteurs de Nyons d’huile d’olives, d’olives, de pâte d’olives noires ou encore de tapenades. Nous avons improvisé une tartine de pâte d’olives noires. Lorsque la saison bat son plein, en plus des coulis différemment parfumés qui remplissent notre congélateur, nous réalisons quelques bocaux de tomates séchées. Pour la recette, c’est hyper simple:[Au soleil] Tomates séchées. Nous avons profité de quelques feuilles de roquettes. Nous aimons son parfum et sa saveur poivrée. Nous avions presque tous les ingrédients pour accommoder notre tartine. Un bon filet d’huile d’olive, de la fleur de sel, du poivre du moulin, des zestes et jus de citron [bio].

Il est toujours plaisant de réaliser un plat Anti-Gaspi. Souvent mis devant le fait accompli, un peu frustré aussi, nous avons laissé filer la fraîcheur qui nous avait pourtant séduite au moment de mettre le produit dans notre panier. Bien sûr, il est toujours mieux de consommer des produits frais. Apprenons à ne charger dans notre panier uniquement ce que nous avons besoin! Pour cette recette Vite Fait, Bien Fait [le temps n’est plus une excuse pour cuisiner…], nous avons redonné vie à quelques champignons de Paris un peu moins blancs et croquants. Nous avons choisi de servir cette crème de champignons à l’Apéritif [Oublions cacahuètes et biscuits secs!].

[Sur le pouce…] Nous avons improvisé de petites tartines généreuses avec 1 avocat et 1 oeuf tout juste sorti du poulailler.