Recettes de sauce de Les Gourmands disent - Page 2

[Nutriscore Z] 🔥🟡🌿 Nous piochons aujourd’hui dans notre grimoire pour trouver une idée. N’hésitez pas à en faire de même, utilisez notre petite fonction de recherche 🔍 pour trouver quelques idées! Pour cette recette, il faut aimer les abats. Faut-il vous rappeler que nous ne consommons pas forcément viande et poisson chaque jour sans pour autant nous l’interdire? Nous tentons d’avoir une alimentation variée. Tout est question de combinaison alimentaire. En aparté… Même si on peut comprendre qu’il est important de se donner des points de repère, nous rejetons les dickats qui blacklistent certains aliments sous prétexte qu’ils contiennent du gras. On se souvient du beurre qu’il fallait absolument éviter, pour le remplacer par les « beurk-margarines » aux compositions pas si séduisantes, trop riches en promesses. So marketing! Fort heureusement, le beurre a repris ses lettres de noblesse. Bien sûr, il ne faut pas en abuser, le chauffer modérement. Le consommateur a-t-il besoin qu’on le prenne systématiquement par la main? Un aliment quel qu’il soit n’a de valeur que si il est considéré dans un ensemble. La pomme, nutriscore A, ne nourrira pas forcément son homme. Arrêtons de nous materner! La bonne mère n’est-elle pas celle qui montre ce qu’il est bon de faire, sans pour autant le faire à la place… Nous ferons toujours l’éloge du bon gras et,…de la gourmandise. Pout notre recette… Nous avions pris soin de commander chez notre petit producteur 2 jolis rognons de veau de 300g chacun. La suite est dans la recette…

[Variante] 🎃🧀🔥 Nous piochons dans notre vieux grimoire une recette que nous avions réalisée avec un filet de canette. Nous conservons les principaux ingrédients en remplaçant la canette par une côte de boeuf. On ajoute quelques noix au moment de servir pour donner une touche automnale à notre assiette. On se régale…

Nous aimons les plats en sauce. C’est So frenchy ! L’art de saucer est une spécialité qui consiste à éponger jus et sauces avec du pain. Catalogué au rang des mauvaises habitudes, il est tout juste toléré pour un plat que l’on qualifie de rustique. Unanimement dénoncé dans les manuels de « savoir-vivre » intimant de ne surtout pas saucer « Ça ne se fait pas…! ».

Que nenni! La sauce est si précieuse. C’est un lien si utile qui lie les différents ingrédients. C’est encore elle qui fait la différence enrobant les papilles. N’y a-t-il pas plus flatteur que de voir votre convive prendre un morceau de pain pour saucer votre plat! Et ce sera le cas avec ces joues de lotte.

[Amateurs d’abats!][Inspiration Bernard Loiseau] A notre grand desespoir, il est plutôt rare de trouver du foie de veau en pavé. Qu’ont-ils tous ces bouchers à vouloir découper tout en petits bouts. Nous avons essuyé plusieurs refus jusqu’à « pousser la porte » de la boucherie de Didier Massot (Halles Paul Bocuse – Lyon). Il faut dire qu’il s’agit d’un MOF. Boucher, tripier sont des métiers. Nous sommes repartis avec 2 jolis pavés [200 g environ chacun d’une belle couleur rosée clair. Le foie de veau fait partie des abats de choix. La cuisson en cocotte permet d’avoir une cuisson assez uniforme et de ne pas dessécher la viande. Nous avons ajouté à notre sauce un peu d’estragon pour une petite touche parfumée. L’estragon se marie bien avec les abats. Nous ne saurions conseiller aux amateurs de rognons notre délicieuse recette de rognon grillé à la moutarde et à l’estragon; une inspiration Alain Ducasse!

[Liaisons gourmandes!] 🌶️ 🥣 L'art de saucer est une spécialité qui consiste à éponger jus et sauces avec du pain. Catalogué au rang des mauvaises habitudes, il est tout juste toléré pour un plat que l'on qualifie de rustique. Unaniment dénoncé dans les manuels de "savoir-vivre" intimant de ne surtout pas saucer "Ça ne se fait pas...!". Que nenni! La sauce est si précieuse. C'est un lien si utile qui lie les différents ingrédients. C'est encore elle qui fait la différence enrobant les papilles. N'y a-t-il pas plus flatteur lque de voir votre convive prendre un morceau de pain pour saucer votre plat! En cuisine... Pour accompagner un morceau viande, nous avons préparé une petite sauce à base de crème teintée de paprika et relevé d'un piment au goût légèrement fumé.

Nous avons le barbecue facile. A l’heure où l’usage du four était impensable à cause de la canicule, nous avons eu l’idée de cuisiner cette recette….peu glamour mais terriblement bonne ! Le temps de maîtriser le feu, on prépare une sauce qui viendra relever une queue de lotte. On prendra soin d’en bien badigeonner copieusement notre poisson pour qu’il s’imprègne des saveurs et, qu'il ne se dessèche. La lotte est un poisson ferme qui supporte une cuisson prolongée. Sa chair ne se délite pas.

[Tout chaud...] 🧅 Nous profitons de quelques marrons sauvés d’une autre recette. Récemment, nous avons redécouvert le filet mignon et, surtout la manière de le cuisiner. Nous faisons poêler simplement notre morceau de viande sans craindre de le proposer plus que rosé. Pendant que nous faisons réchauffer nos marrons, nous préparons une sauce crémeuse relevée de piment fumé.

[Histoire...] 🐖 Nous construisons souvent nos recettes autour d’un ingrédient. Ce dernier a généralement pris place dans notre panier au cours de nos rendez-vous sur un marché, une halle de petits producteurs. Nous privilégions les circuits courts.Nous aimons nous nourrir de cette histoire qu’un producteur, qu’un artisan nous content… Ainsi, certains produits restent à jamais [on l’espère…] associés à une personne, un lieu, une anecdote,…Sur notre marché, un artisan charcutier vient, tous les samedis, vendre sa production. Nous trouvons chez lui de délicieuses terrines et, des morceaux de viande de choix. Nous ne consommons généralement de la viande qu’en fin de semaine [tout comme le poisson d’ailleurs!]. Les autres jours, nous arrivons parfaitement à nous en « passer »*.Pour notre recette, nous avons choisi un joli filet mignon.Nous avons décidé de le faire poêler un peu comme on pourrait le faire avec une pièce de bœuf. On prendra soin de garder le cœur rosé presque saignant. Pour l’accompagner, nous avons pioché dans les légumes et fruits de saison [navet, radis noir, marron ou encore potimarron] et, préparé une sauce crémeuse avec une poudre de champignons. Les champignons frais se font à présent rares sur les étals.

Histoire de sauces. Marylin Monroe ne s’habillait [la nuit] que de quelques gouttes du N°5 de Chanel! L’ingrédient central n’est pas toujours celui que l’on croit… La sauce enrobe et lie tous les éléments d’un plat. Une mauvaise sauce peut facilement vous « flinguer » un plat!

[Sauçons! ] 🐙 Les premiers froids appellent les plats en sauce. La sauce est loin d’être une anecdote en cuisine. Dans les grands restaurants, il existe même au sein des brigades, un saucier. Un poste à part entière. C’est dire combien l’affaire est importante! Si la sauce n’est pas tout, elle peut, si elle est ratée, vous gâcher parfaitement un plat. Elle sert de liant et, donne une signature…, une âme à une recette. En cuisine, lorsque nous utilisons un ingrédient, nous aimons pousser un peu plus loin…connaître son origine. Si les anneaux d’encornets viennent de chez notre poissonnier, la recette fait partie de notre savoir culinaire. Plus exactement de ma moité de Gourmandise qui a gardé, de son séjour dans le Sud, quelques belles recettes! Au risque de la décevoir, il planerait un doute quant à l’origine géographique précise de la recette, elle ne serait pas vraiment du Sud, encore moins de Bretagne [en référence aux côtes d’Armor]. Le terme « Armoricaine » serait donc une déformation. Il s’agirait, en fait, d’une recette élaborée par un chef parisien pour des clients américains. Le qualitatif « à l’américaine » serait plus exact!....

[Retour aux fourneaux...] Pour nous, c’est la rentrée! Après une longue pause, nous reprenons le chemin de nos fourneaux… Nous avions envie de rompre avec une grande série de salades. Nous vous proposerons d’ailleurs dans les jours prochains quelques nouvelles suggestions. La chaleur semble décidée à vouloir une nouvelle fois nous rendre visite! Pour l’heure, nous sortons le barbecue pour faire griller quelques sardines. C’est un plaisir simple qui peut faire gronder les voisins. Les effluves ne sont pas discrètes. On assume… Nous les avons fait mariner dans un peu d’huile d’olive une journée. Alors que déjà se forment les premières braises dans notre barbecue, nous improvisons une petite sauce avec un concombre, un petit oignon blanc et du citron.

Nous avons chargé dans notre panier des filets de pintade. En général, nous préférons cuisiner les suprêmes. La présence de la carcasse évite à la viande de trop se dessécher et, lui apporte moelleux et saveurs. Nous avons réalisé des ballotines pour une cuisson vapeur. La vapeur est un mode de cuisson que l’on qualifiera de plutôt sain du fait que l’on n’utilise pas de matières grasses. Elle permet aussi de cuire les aliments sans trop les agresser et d’en préserver les qualités nutritionnelles et, les saveurs. Nous avons préparé une purée de céleri que nous avons parfumée avec un peu de vanille. La cuisson vapeur n’interdit pas la sauce. Le céleri s’accommode bien avec le cassis. Nous avons donc préparé une sauce au vin rouge et à la crème de cassis.

[Cuisson vapeur] Les repas de fêtes s’enchaînent et, nous essayons de concilier gourmandise et légèreté. Pour cette recette, nous avons préparé des ballottines de pintade que nous avons farci avec quelques morilles. Nous avons choisi une cuisson vapeur. Nous avons accompagné nos ballottines d’une sauce à la crème un peu améliorée.

Nos précédentes vacances au Pays Basque nous ont profondément marqués et…donné envie de cuisiner le poivron. De retour, sur nos marchés, nous nous étions quelque peu emballés revenant les bras chargés de poivrons multicolores.

Cette recette est issue des tréfonds de notre mémoire. A l’époque où les saveurs et la provenance des produits n’avaient pour nous que d’importance. Tout le monde fait des erreurs !