Les Gourmands disent

[On n'y pense!] 🎅🏼​ Nous éprouvons toujours une grande satisfaction à valoriser les restes de nos recettes. Retrouvez d’ailleurs quelques astuces [Anti-Gaspi!] qui pourront vous donner bonne conscience. Avec quelques restes d’un gigot d’agneau, que nous avions cuisiné pour Pâques, nous avons préparé de jolies aumônières. Nous avons haché [au couteau] la viande d’agneau. Nous avons ajouté quelques légumes et fruits secs, sans oublier le reste du jus de cuisson aromatisé à l’ail…

Si nous avons réduit considérablement notre consommation de viande, nous choisissons avec soin la manière de les cuisiner lorsqu’ils s’invitent à table. Pour la cuisson du filet mignon, nous préférons une cuisson à blanc pour un service rosé voir légèrement saignant. Nous l’accompagnons toujours d’une sauce.

Pour cette recette, nous avons pioché dans notre grimoire une sauce avec 3 piments doux : 2 paprika et 1 piment d’Espelette et, dans les légumes de saison quelques poireaux.

Nous avons ressorti avec enthousiasme une recette qui nous avait enchantés par le passé. Ce jour, nous étions inspirés et, nous voulions tester de nouvelles associations. Lorsque nous nous lançons dans de nouveaux essais, nous parcourons (entre autre chose) nos placards en quête d’inspiration. La pêche avait été bonne: cacao et vanille avaient trouvé leur place dans une crème destinée à accompagner un poisson…

Le rapadura est un sucre non raffiné originaire d’Amérique latine. Il a une couleur très foncée et une texture légèrement humide. Son goût rappelle la réglisse et le caramel. C’est un sucre complet qui contient beaucoup de minéraux comme le magnésium, le fer ou encore le calcium. Le sucre, lorsqu’il est raffiné, perd l’essentiel de ses vitamines et ses minéraux. Le rapadura est obtenu à partir de la canne à sucre. On la laisse sécher au soleil, à l’air libre, avant de le tamiser. Il n’est ni chauffé ni cristallisé.

Nous avons réalisé des panna cotta. C’est simple, et ça marche à tous les coups. On peut varier facilement les aromatisations. La crème s’imprègne bien des saveurs. On prendra soin d’éviter les crèmes allégées et, on choisira une bonne crème fleurette (minimum 30% MG). En utilisant durapadura, ce sucre au goût typé, on utilise une quantité plus réduite de sucre que si nous avions utilisé un produit raffiné. En résumé, plus de goût et, moins de sucre…tout pour nous plaire !

[On y pense! ]🎅🏼​ 🐓 Certains plats ne peuvent s’envisager qu’à plusieurs! Comme cette recette de chapon au vin jaune qui se retrouvera sur « notre » table pour les fêtes. Il faut dire que la bête est généralement d’un bon gabarit [3 à 4 kgs en général]. Aussi, si on veut en venir à bout, au cours d’un repas, il est préférable de compter sur de bons amis gourmands. En cuisine… On sort la cocotte… Nous avons repris une recette que nous avions, déjà dans le passé, partagée entre amis. Et, nous avons fait quelques modifications…

🎅🏼​ 🐟 ❄️ À l’approche des fêtes, les esprits bouillonnent. On questionne, on s’interroge sur ce que l’on pourrait mettre sur la table… Nous parcourons notre grimoire. L’occasion aussi de reprendre certaines recettes simples à préparer et si gourmandes. En cuisine, nous piocher dans les légumes d’hiver pour accompagner une queue lotte que l’on fait rôtir au four.

On demande à notre poissonnier de peler (simplement) la queue de lotte. On conserve bien l’arête. On pique quelques bâtonnets d’ail pendant que le four monte en température. On place le poisson dans un plat à four. On arrose d’huile d’olive. On ajoute quelques branchettes de thym et quelques pincées de piment d’Espelette. On prépare à côté un céleri rave que l’on pèle puis découpe en morceaux. On le met à cuire à couvert avec un peu d’eau. On sale et saupoudre d’un curry de Madras…

Certains plats ne peuvent s’envisager qu’à plusieurs ! Comme cette recette de chapon au vin jaune. Il faut dire que la bête est généralement d’un bon gabarit, 3 à 4 kgs en général. Aussi, si on veut en venir à bout, au cours d’un repas, il est préférable de compter sur de bons amis gourmands.

En cuisine, on sort la cocotte ! Nous avons repris une recette que nous avions, déjà dans le passé, partagée entre amis. Et, nous avons fait quelques modifications…

Nous avions chargé dans notre panier des potimarrons en abondance. Il y en avait de toutes les tailles. Nous choisissons le plus gros pour en faire une purée. Nous retenons l’un des plus petits, à peine de la taille d’une orange, coupé en quartiers et relevé d’un peu d’ail pour le faire poêler. pour le faire rôtir. Quelques châtaignes déjà cuites viendront rejoindre notre poêlée. A peine plus tard, nous dressons les assiettes et passons à table.

Quel bonheur de retrouver notre ostréiculteur préféré au marché ! Nous étions impatients de sortir notre recette d’huîtres au barbecue, si simple et délicieuse.