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Poulet rôti farci de viande hachée au frick ( blé vert ) et sa garniture de champignons et olives vertes sauce tomate fraîche pour la rupture du jeûne en famille servi après un jéri frick, une salade de légumes grillés ( méchouia ) et des mini pizza. Le frick maison, c'est du blé vert cueilli avant maturité, trié, lavé, séché puis torréfié et porté à moudre au moulin du coin

Tlaïtli, plat citadin de pâtes traditionnelles typiques du terroir bônois en sauce blanche, cannelle, à l'agneau et aux boulettes ( bnedaqs) le tout rôti au beurre à la poêle, cuisson en deux temps aux œufs durs. Ces plats de pâtes traditionnelles tels les vermicelles ( douaida), tlaitli ( langues d'oiseaux ), sont propres à la cuisine de l'Est algérien, elles sont en sauce blanche ou rouge lorsqu'elles sont réalisées dans les campagnes, à base d'agneau traditionnellement et de poulet fermier obligatoirement, , servi avec des noisettes de beurre frais et de leben selon les us et coutumes et malgré qu'elles aient voyagé, elles restent néanmoins propres à l'Est de l'Algérie !

Ce poulet rôti au sumac et zaatar est une belle recette familiale, facile à faire. Il faut juste penser à faire mariner le poulet la veille pour qu’il ait le temps de s’imprégner des épices. Il s’agit d’une recette du chef Yotam Ottolenghi qui sait manier avec brio les épices.

Une nouvelle recette du chef Ottolenghi que vous aimerez déguster à n’importe quelle saison -on trouve des citrons toute l’année. Mais j’aurais eu bonne mine de publier un « poulet de printemps » en plein hiver. De par son mode de cuisson et sa farce, ce poulet au citron confit est extraordinairement moelleux et parfumé. C’est une recette simple, efficace et qui plaît. Comme le dit le chef : « Je ne suis pas le premier à utiliser ensemble le citron, le thym et l’ail, mais il ne faut pas oublier que les classiques le sont pour une bonne raison ».

Préparation du riz cantonais aux crevettes comme on le cuisine à la Réunion(974). Le riz cantonais est un plat d'origine asiatique que tous les réunionnais adorent. Il vous faudra du riz, des crevettes, des œufs, du jambon, divers aromates et bien sûr de la sauce soja. Le riz cantonais aux crevettes se déguste seul ou en accompagnement d'un poulet rôti par exemple.

En mai-juin, plein feu sur la rhubarbe ! Sucrée, oui, mais salée aussi… Absolument ! Avec une viande blanche, son goût est indécelable, et pourtant délicatement acidulé. Je l'avais déjà goûtée avec des ris de veau, je l'ai faite avec du poulet et, là, j'aurais souhaité des joues de veau, mais j'ai dû me rabattre sur l'osso buco et les tendrons. J'ai aussi essayé le rôti de veau classique, mais la viande est trop sèche pour cet accompagnement.

C’est la pleine saison des sardines sur la côte Atlantique (référence Nantes). Je les sers très souvent au beurre avec des pommes de terre nouvelles. Cette fois, je les ai farcies aux fines herbes. Les pommes de terre les auraient très bien escortées mais comme j’en avais juste pour accompagner le poulet rôti, je les ai servies avec des tartines recouvertes généreusement de beurre demi-sel. Si c’est toujours ce beurre que j’utilise, je ne vous le dis pas toujours car pour certaines recettes, c’est un peu comme on veut. Là, je pense que c’est incontournable pour se sentir en bord de mer en Bretagne 🙂

Parfois, il n’en faut pas beaucoup pour se régaler. Un bon poulet bio fermier, des pommes de terre nouvelles et un peu de temps devant soi. Je cuis mon poulet comme ma mère le faisait, à basse température. Il est moelleux à souhait ainsi. J’achète toujours un gros poulet et mange le reste dans la semaine avec une salade ou un autre accompagnement.

J’aime bien ces petits plats qui mijotent doucement dans le four pendant qu’on fait autre chose. C’est facile, gourmand et plutôt joli quand on l’apporte à table. J’achète toujours de gros poulets. Ils sont plus avantageux et plus gustatifs que les petits poulets. Quand j’en ai trop, j’en congèle une moitié ou fais une recette différente. Vous pouvez aussi doubler les doses et congeler des parts que vous serez content de retrouver plus tard. Choisissez un poulet fermier qui a gambadé dans des parcours en herbe. Bref, tout le contraire des poulets classe A ou des coquelets élevés dans des conditions qu’on ne peut légitimement pas accepter.