Dos de cabillaud fumé. Bouillon aux épices Tonkin

Nous boudions jusqu’alors les premiers potimarrons. Même s’ils étaient déjà présents depuis quelques temps sur les étals des marchés. On se refusait de les cuisiner, attachés à profiter des derniers légumes de l’été. Et, avec les premiers frimas [même si au moment où nous rédigeons cet article l’été semble vouloir jouer les prolongations!], nous avons abandonné nos « dernières » salades. Place aux légumes d’automne! Le potimarron va nous accompagner à présent quelques mois. Vous trouverez avec ce lien, les recettes que nous avons déjà cuisinées..., l’ensemble de nos suggestions comme notre risotto au potimarron, aux chanterelles grises et foies de volaille ou nos petits choux au potimarron et aux épices. Pour cette suggestion, nous avons repris une de nos recettes qui a fait déjà ses preuves Potimarron au haddock et champignons des bois et, l’avons un peu adaptée..

Inspiration Jean-François Piège. Nous aimons toutes ces recettes d’inspiration asiatique. Nous avions mis de côté celle-ci avec l’intention de l’essayer. Au final, la recette est hyper simple et, pour les amateurs de soupes et de gingembre, un délice !

[Simple et léger...] 🐟 Alors que nous n’avons pas d’idée quant à la fin de cette période de confinement, nous nous organisons peu à peu. Nous parvenons, jusqu’à présent, à conserver une activité professionnelle à distance. Cette crise aura au moins permise de développer la cappacité de chacun d’apprendre à travailler à distance, à gagner en quelque sorte en autonomie. Demain, beaucoup de questions seront posées et, nous croyons que, d’une certaine manière, notre société sera à repenser. Les distances n’ont plus les mêmes valeurs: quid des transports inutiles,… L’importance de la socialisation: apprendre les uns des autres, moins d’indidualisme, plus d’altruisme,… Travailler de chez soi nécessite de se fixer un certain nombre de règles et de repères: un espace réservé, un planning,… En matière d’alimentation, cette phase de confinement nécessite d’adopter également quelques règles et d’adapter son alimentation à ce nouveau rythme de vie. « Manger et bouger » devient un peu difficile à tenir. Nous avions envie d’une solution légère. Nous avions chargé dans notre panier un dos de cabillaud sans savoir si nous trouverons à nouveau du poisson frais. La tenue des prochains marchés reste à ce jour encore en suspens. Certains artisans risquent de ne pas pouvoir s’approvisionner et, distribuer leurs produits en respectant les exigences sanitaires qu’imposent notre nécesssaire confinement.