Pour un apéritif histoire de faire genre, j’ai fait confire, façon japonaise, un bon morceau de poitrine. C’est parti en quelques minutes avec un Crémant de Beaujolais, excellent lui aussi. Encore une friandise cochonne, façon nipponne. Moelleuse, typée et parfumée, un petit délice.
Voici une façon de cuisiner l'oreille de cochon goûtée dans un bistrot Sud Ouest à Paris et qui fera se renier tous ceux qui craignent cet abat cartilagineux. Une gourmandise dont vous ne vous lasserez pas !