C'est toujours utile d'avoir des condiments chez soi pour améliorer une salade, un assortiment de charcuterie ou un sandwich. Les ingrédients d'assaisonnement sont donnés à titre indicatif et, certains, facultatifs.
Cette tarte, très british (de Dan Lepard, publiée par “The Guardian” du 5 oct. 2012), est garnie d'une épaisse couche de pommes épicées dans une pâte à la bière brune. Sucre et beurre ajoutés à la bière suppriment son amertume salée et mettent en évidence une saveur de malt.
À la légère fadeur du chou-fleur cuit autant que cru s’ajoute la subtilité de la vanille. L’idéal est vous assurer, auprès d’un bon maraîcher, de la provenance du chou-fleur.
La demi-sphère n’est destinée qu’à donner une jolie forme à la meringue, mais si vous n’avez pas d’empreintes en silicone de cette forme, prenez des moules à muffins, vous aurez aussi un réceptacle en meringue à garnir de la même façon.
Un des desserts fétiches d’Éric Frechon. La recette est inscrite sur un grand tableau de son restaurant Lazare (gare Saint-Lazare qui dessert Deauville), mais, attention, la recette affichée indique les quantités pour 2 moules. Ici, vous les avez pour un seul moule.
Cet entremets, pour amateurs de chocolat un peu vegan, prend consistance avec de la gélatine ou l’agar-agar. Peu sucré, il est plutôt léger et fond en bouche. Il vient du site de Carlo Cao (@vegaliciously sur Instagram), un auteur de recettes plutôt végétariennes.
Ce poulet est parfumé et relevé, mais de façon parfaitement maîtrisée. Encore et toujours d'après une recette de Yotam Ottolenghi dans son livre “Simple” (Hachette Pratique).
Les mantecados ou mantecaos (parfois montecaos) sont des biscuits sablés andalous, parfumés à la cannelle ou au zeste de citron. Manteca signifie “saindoux”. On peut donc les faire au saindoux comme à l'origine ou à l'huile d'olive ou d'arachide. Ces spécialités andalouses se mangent généralement autour des fêtes de fin d’année et particulièrement à Noël.
Il existe autant de recettes de madeleines que de cuisiniers(ères). Je suis partie de la recette de Pierre Gagnaire (“Les Copains d'abord”), mais en ajoutant un œuf, donc un peu plus de farine, un peu plus de ceci, un peu moins de cela et, de fil en aiguille, je ne sais pas s'il peut totalement les revendiquer…