Des idées de recettes de sang pour vos menus de fêtes ou du quotidien.
Boooo c’est Halloween ! Les vampires sont de sortie pendant les vacances de la Toussaint et, rien que pour eux, voici quelques fioles de sang à boire tout au long de la nuit du 31 octobre… En réalité, bien sûr, pas de sang dans ces petits shots mais des fruits rouges, du tonic et du gin ! A consommer avec modération !
Voici une recette pleine d'horreur parfaite pour célébrer Halloween : des cupcakes violemment assassinés par des bris de verre et dont l'intérieur commençerait à pourrir... à déguster au goûter ! Bon appétit et surtout happy Halloween aux petits et grands gourmands à la recherche de sensations fortes !
A l'instar des risottos et des pâtes, les quenelles noires sont colorées avec de l'encre de seiche ou du colorant alimentaire. Idéales pour Halloween, elles sont aussi présentées en tapas, en gratin de béchamel noire, en sauce rouge sang, Nantua aux écrevisses.
Un punch au cidre, aux pralines rouges, épicé à la cannelle, sans alcool (version jus de pommes) ou au gin. Dans cette boisson rouge sang se dissimule un effrayant visage de glace, et ou une horrible main de glace.
Le lièvre à la royale est souvent décrit comme un monument de la gastronomie française. On relate sans cesse la même légende ; celle du vieux Louis XIV, de la perte précoce de ses dents et de ses cuisiniers ingénieux qui inventèrent ce plat royal et mythique.
Il faut dire qu’en France lorsqu’il est question de monarchie on pense irrémédiablement à Louis XIV, comme si l’avant et l’après n’avaient pas tout à fait existé. Les articles sur le sujet viennent conclure en parlant d’une prétendue lutte entre la version de Marie- Antoine Carême et celle de Aristide couteaux (un sénateur semble-t-il plus connu pour sa gourmandise que pour la politique qu’il menait. Mais n’est-ce pas là le propre des sénateurs ?). Il est de bon ton, aujourd’hui de prétendre préférer l’une à l’autre. Les techniciens vantent Carême, les puristes du produit et du goût s’acharnent à défendre Couteaux. Rappelons aux profanes que ni l’un ni l’autre ne sont contemporains du vieux Louis.
François Pierre de la Varenne et son ouvrage le Cuisinier François ou Pierre de Lune, cuisiniers du Grand Siècle ne font nulle mention de pareille recette. Chez eux les levreaux sont bardés et bien rôtis comme il était d’usage de le faire à la cour de France. Louis les mangeait-il peut-être au pot plutôt qu’à la broche, bien noirs et bien confits mais alors pourquoi parler de lièvre à la royale plutôt que simplement de civet, une recette déjà bien connue ?
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