Cuisine accessible et poulet : toutes nos recettes

Loubia khadra marka bel zmaka : un mijoté de sot-l'y-laisse aux haricots verts frais. Plat du terroir bônois du quotidien, cuisine accessible des plus délicieuses, cette partie du poulet ou de tout autre volaille telle la dinde est très savoureuse, rares sont ceux qui apprécient cette partie de volaille et c'est ainsi qu'on la nomma sot l'y laisse relatif à ceux qui ignorent ce qu'ils perdent comme bonnes saveurs. Les sot-l'y-laisse, les ailes et les abats foie et gésiers de la volaille sont utilisés dans les plats et soupes du quotidien, cela apporte du goût aux plats et c'est à la portée des petites bourses. Après cuisson de toute la partie avec l'os, j'ai récupéré au couteau fin délicatement les chairs savoureuses car pas aisé de le faire lorsque la viande est crue. J'utilise uniquement la poitrine et les cuisses de poulet , les sots l'y laissent et le dos de la volaille, je les conserve au congélateur jusqu'à ce que j'en aie une bonne quantité qui iront dans des soupes, certains mijotés et gratins au fromage et œufs.

Tkhanchita ta3 mrayti ou ratatouille de ma femme, c'est le nom donné par mon époux à ce tajine lorsque j'utilisais le fond de mes placards et frigo, cuisson à feu doux dans un vieux tajine en aluminium lourd, ce poulet et ces pommes de terre aux légumes sont un délice.

Plat de pâtes linguines à la daube de maman au poulet, facile et rapide à réaliser, cuisine pour débutants et étudiants.

Ailes de poulet à la crème au leben (lait fermenté), œufs mollets et olives vertes. Cuisine facile, économique et accessible pour toutes les bourses. Il me reste toujours des ailes de poulet que je découpe avec un morceau de blanc pour avoir plus de chair à manger, je les garde au congélateur et les utilise dans des petits mijotés, chakchouka et ratatouilles de toutes sortes, des soupes et chorbas du quotidien, les ailes en quantité apportent beaucoup de saveurs aux plats.

Plat de boulgour à la poitrine de poulet rôti, le boulgour est un de ces aliments longtemps consommé en Algérie à l'ère ottomane qu'ils servaient à leurs janissaires, considéré comme sous produit du blé et très fastidieux à préparer, il a été délaissé dès l'arrivée du riz racontait maman.