C'est une soupe typique bônoise que l'on réalise avec des étourneaux très appréciée et recherchée par les anciens bônois pour sa saveur inégalable, les étourneaux ou zarzour, des petits oiseaux noirs, plutôt bleu nuit brillant, sont chassés dès leur arrivée en Algérie pendant leur migration en hiver, ils sont très nuisibles pour nos oliviers et arbres à petits fruits
Pas de fêtes de fin d'année sans salade Olivier chez moi 😉 ! Plusieurs variantes disponible sur mon blog : aux pommes de terre, au chou-fleur, au saumon, végétarienne, au jambon, etc.
Le champion du monde des desserts, Olivier Bajard, a réinterprété à sa façon le Pa d'Ous, le flan Catalan et sa recette figure dans le magazine Terres Catalanes.
Aujourd'hui je vous propose ma version de la fameuse salade russe, qui porte un nom français, car elle s'appelle Olivier. C'est une salade à base de légumes cuits, d’œufs, de cervelas et de cornichons. Tout est découpé en petits dés, comme pour une macédoine et est agrémenté de mayonnaise.
Une très belle découverte autant à cuisiner qu'à déguster , un bonheur pour les papilles , d'après la recette du Chef breton Olivier Belli. J'ai rajouté les asperges vertes, les dernières trouvées au marché, les petits pois arrivent sur les étals, j'en profite, je les adore
Un grand classique de la cuisine qui a largement traversé les frontières de la Russie. Cette salade russe, également appelée Salade Olivier du nom de son créateur est intemporelle. A vous de la garder telle quelle ou d'y ajouter du thon, du blanc de poulet ou du jambon blanc par exemple.
Recette à réaliser avec ou sans Thermomix
Un curry de chou-fleur une délicieuse façon d’apprêter différemment ce légume en forme de bouquet gourmand. Le curry est un mélange d’épices que j’affectionne pour faire voyager les papilles.
Le chou-fleur serait originaire du Proche Orient où il était récolté il y a 2000 ans (le chou-fleur était cultivé en Égypte 400 ans avant notre ère). Il était déjà apprécié dans l’Antiquité par les Grecs et les romains. On ne sait pourquoi il tombe dans l’oubli pendant une longue période et c’est au XVIe siècle que les Italiens, notamment les marins génois le ramène en Europe. À cette époque Olivier de Serres, considéré comme le père de l’agronomie française, le mentionne dans son « Traité de l’Agriculture » publié en 1600