Recettes de farine de Mariatotal - Page 3

Le “broyé” poitevin est une simple galette sablée sans œuf (j'insiste), c’est le beurre qui fait tout ! Vous ferez une grande galette à partager, non pas au couteau, mais en la cassant d’un coup de poing en son milieu.

Facile à cuisiner à l'avance pour un apéritif convivial, c'est un classique des classiques qui plaît au plus grand nombre. Une recette toujours utiles à garder dans ses archives. Évidemment, toutes les déclinaisons sont envisageables : chorizo, feta, olives noires, tomates confites, basilic, etc.

Une focaccia de paresseuse avec un minimum de manipulation… Évidemment, c’est au prix de trois jours de patience, mais quel plaisir en la dégustant, par exemple, trempée dans une bonne huile d’olive en guise d'apéritif !

Ces bouchées sont idéales à offrir autour des fêtes de fin d’année, mais même tout au long de l'année. Et pourquoi ne pas appliquer cette recette aux noix de chez nous ?

Le crumble est probablement le dessert aux fruits le plus simple à préparer, à déguster chaud ou froid, avec ou sans boule de glace. Celui-ci, à la rhubarbe et aux cerises, acidulé, est idéal à la fin de printemps. Et un ajout de pointe de gingembre pétille un peu. Plus tard dans la saison, les pêches, les prunes ou les mûres peuvent remplacer les cerises et rhubarbe.

Ce pain traditionnel anglais "cottage loaf", appelé aussi “oven bottom”, formé de deux pains ronds, l'un sur l'autre, très courant jusqu'à la Seconde Guerre mondiale, était, paraît-il, la spécialité de Virginia Woolf.

Ces bouchées passées dans le sucre glace se craquèlent à la cuisson et restent toutes moelleuses en dedans. De quoi craquer, en effet… C'est la version acidulée des crinkles au chocolat.

Ce gâteau est américain surtout par ses proportions exprimées en tasses, ici converties en grammes. Il ressemble au fameux gâteau invisible, c'est-à-dire avec beaucoup de fruits et peu de pâte. Il semble assez rustique et c'est justement ce qui est si bon !

Tout moelleux et très citronnés, sans beurre ni amandes, ces financiers n'en ont que la forme. Ils accompagnent délicieusement un dessert glacé, un café ou un thé.

Ces divines friandises se composent d'amande et encore d'amande, de blanc d'œuf et d'un peu de sucre.

Un des desserts fétiches d’Éric Frechon. La recette est inscrite sur un grand tableau de son restaurant Lazare (gare Saint-Lazare qui dessert Deauville), mais, attention, la recette affichée indique les quantités pour 2 moules. Ici, vous les avez pour un seul moule.

Les mantecados ou mantecaos (parfois montecaos) sont des biscuits sablés andalous, parfumés à la cannelle ou au zeste de citron. Manteca signifie “saindoux”. On peut donc les faire au saindoux comme à l'origine ou à l'huile d'olive ou d'arachide. Ces spécialités andalouses se mangent généralement autour des fêtes de fin d’année et particulièrement à Noël.

Il existe autant de recettes de madeleines que de cuisiniers(ères). Je suis partie de la recette de Pierre Gagnaire (“Les Copains d'abord”), mais en ajoutant un œuf, donc un peu plus de farine, un peu plus de ceci, un peu moins de cela et, de fil en aiguille, je ne sais pas s'il peut totalement les revendiquer…