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De délicieux sablés au chocolat pour un petit goûter avec les enfants en attendant le Père-Noël 🎅 !

De délicieuses bottes au cacao qui ont sublimé ma table de Noël.

Cette recette de purée d'asperges vertes glacée à l'huile d'olive et pointes sautée, autour d'un unique produit, met en avant la subtilité de l'asperge, en jouant avec les textures. Cette entrée sera parfaite aussi bien pour un repas de Pâques, de Fêtes des mères ou de Fête des pères.

Avons-nous, en général, suffisamment de recettes pour accompagner un apéritif ? bien sûr que non (lol)... on n'en a jamais assez. Voici donc, de sympathiques petits samoussas au thon et aux épices qui agrémenteront bons nombres d'apéros.

En attendant le Père Noël on se régale avec des biscuits aux noisettes.

Les crinkles au chocolat, aussi appelés biscuits craquelés, ont un cœur riche et fondant en chocolat avec un extérieur croustillant de sucre en poudre. Servez ces biscuits pour les fêtes de fin d'année, et n'oubliez pas de donner une petite assiette remplie de gâteaux craquelés pour le Père noël!

Voici une recette de famille : la salade de pommes de terre alsacienne de mon Papa ! Il existe autant de versions de cette salade de pommes de terre que de familles, et celle de ma grand-mère est bien différente de celle de mon père. Ma préférée c’est cette version avec des cornichons à l’aigre-doux, car elle est douce et sent bien le goût des pommes de terre.

Ce cake au Bleu fermier et céleri est une recette de Jean Sulpice, chef doublement étoilé de l’Auberge du Père Bise à Talloires, près d’Annecy. Il y évoque le souvenir de son grand-père qui aimait associer ces deux saveurs. Parfait pour l'apéritif, le pique-nique ou avec une salade.

Un curry de chou-fleur une délicieuse façon d’apprêter différemment ce légume en forme de bouquet gourmand. Le curry est un mélange d’épices que j’affectionne pour faire voyager les papilles. Le chou-fleur serait originaire du Proche Orient où il était récolté il y a 2000 ans (le chou-fleur était cultivé en Égypte 400 ans avant notre ère). Il était déjà apprécié dans l’Antiquité par les Grecs et les romains. On ne sait pourquoi il tombe dans l’oubli pendant une longue période et c’est au XVIe siècle que les Italiens, notamment les marins génois le ramène en Europe. À cette époque Olivier de Serres, considéré comme le père de l’agronomie française, le mentionne dans son « Traité de l’Agriculture » publié en 1600