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Des macarons à la meringue italienne sous forme de coeur, de petits gâteaux savoureux à déguster ou à offrir une idée de Saint-Valentin très appréciée de tous.

Comment faire un délicieux gâteau au citron meringué avec une génoise légère et moelleuse comme un nuage, deux garnitures douces et acidulées, du lemon curd et une chantilly mascarpone et sa jolie décoration de meringue Italienne.

Une délicieuse tarte italienne ricotta et pépites de chocolat toute fondante dans son écrin de pâte sablée grâce à la ricotta, toute gourmande grâce aux pépites de chocolat et délicieusement parfumée par la vanille que j’ai associée à une lichette de rhum blanc.

Un dessert réalisé à la manière du Fontainebleau, avec des cerises italiennes. J’ai rajouté un peu d’amaretto pour « puncher » le gâteau, afin de renforcer la note d’amande du biscuit de Gênes et celle des cerises amarena. Cette étape est tout à fait facultative, ou peut être replacée par un peu de kirsch selon vos goûts.

La torta sbriciolata est un gâteau italien de type crumble décliné avec plein de parfums. Vous trouverez sur Kilomètre-0 une version au citron, une version au chocolat, une version aux mûres.

Les drip cakes ce sont ces gâteaux avec des coulures, ici réalisées avec du fondant blanc pâtissier. Pour réaliser ce dessert, il vous faudra préparer deux molly cakes, une crème au beurre à la meringue italienne parfumée à la vanille et manier la pâte à sucre.

Le pain de Gênes est un gâteau très moelleux à base de massepain est un classique à la maison. Goûter, balade, école, travail, il s’emporte partout, se déguste avec les doigts et se conserve très bien. Pour être réussi, la texture de sa mie doit être tendre et légère, s’il est trop cuit il perd son moelleux.

Le pandolce est le dessert incontournable dans toute la Ligurie à Noël. Mais comme vous pourrez le voir au regard des ingrédients, il reste le bienvenu après Noël au petit déjeuner. Et comme il est encore meilleur à partir du lendemain, on peut en faire un gros pour quatre ou cinq matins.

Octobre est le temps des châtaignes et autrefois ce fruit était célébré de la Toscane aux Cévennes. On comptait de nombreuses fêtes dans les campagnes où la châtaigne prodigieuse était préparée de mille sortes afin que jamais on ne s’en lasse. Depuis elle est tombée malade, est devenue rare et onéreuse, ainsi ceux qui la célèbre encore sont plutôt les nostalgiques et les amoureux d’un temps perdu. Le castagnaccio serait né à Lucca en Toscane des mains d’un dénommé Pilade de Lucques, en tout cas c’est ce que raconta Ortensio Landi dans son « Commentario delle più notabili et mostruose cose d’Italia e di altri luoghi » édité à Venise en 1553. Plus tard il apparaît au XVIe siècle dans les écrits d’un père augustinien. En 1644 dans la Tanara sont détaillés les castagnazzi énumérant les variantes possibles. Enfin Pellegrino Artusi dans sa célèbre « Science en cuisine » précise « Même ici, je ne peux m’empêcher de déclamer contre le peu de penchant que les Italiens ont à l’égard de l’industrie. Dans certaines provinces d’Italie, la farine de châtaigne n’est pas connue et je pense que personne n’a jamais essayé de l’introduire; pourtant, pour le peuple et pour ceux qui n’ont pas peur du vent, c’est un aliment bon marché, sain et nutritif ».