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Garn ghzel. Les cornes de gazelles bônoises sont à base exclusive de noix pour la recette authentique traditionnelle, la pâte est fondante. C'est un gâteau de fête et d'évenement heureux.

Essayez cette recette de ramadan et donnez votre avis en commentaire !

La daurade avec son boulgour à la tomate pour changer des autres fritures traditionnelles et tehrissa bônoise au cumin ( marinade ) pour poissons. Comme en Turquie !

Qui dit korssa, dit terroir bônois et Annaba d'antan, pâtes fraîches faites maison, symbole du jari bônois ( chorba ), à base exclusive de semoule, toujours réalisée par les vieilles familles pures bônoises, demande des efforts et une dextérité manuelle, car réalisée à la force des bras, on peut bien utiliser la machine à pâtes mais on va plus vite lorsqu'on étale les abaisses à la main, la soupe est meilleure avec un goût particulier et typique .

Ce gâteau magique au chocolat ou à la vanille, une fois au four, va décanter pendant la cuisson, trois couches vont se former, une sorte de flan à 3 couches.

Et si on remplaçait la pomme de terre des bricks traditionnels par des ignames africains ?

Les pays du Maghreb regroupent de nombreuses spécialités culinaires, toutes plus délicieuses les unes que les autres. Entre les tajines, le couscous ou les bricks, ces recettes parfumées vont ensoleiller votre cuisine.

En cuisine avec cette belle idée de recette de velouté de lentilles corail carotte de Cyril Lignac.

Khdawedj ala derbouz ou tajine el casbah, recette de belle maman ! Recette inédite Khdawedj ala derbouz ( khdewedj sur le balcon) , plat du vieil Alger à base de viande et d’œufs qui tire son nom de Khdewej, la fille de Hassan Khaznaji, célèbre trésorier en 1789. Khdewedj relatif à khdawedj el amia, ( atteinte de cécité ) d'où il tire son nom, fille de Hassan Khaznadji qui devint Pacha, qui raffolait de ce met et s'en délectait tant et si bien qu'elle passait sa journée à coté des cuisines du palais acheté par son père pour la protéger et qui devint musée de nos jours, elle se faisait accompagner par ses serviteurs ( khadams ), en attendant l'heure du repas, recette qui date de l'ère ottomane, introduite peu à peu dans la cuisine du peuple et très présente sur les tables de ramadan .