Recherche

Loubia khadra marka, plat de haricots verts frais à l'agneau traditionnellement que je décline au veau de lait que les enfants préfèrent. C'est un ragoût délicieux, type de la cuisine de l'été du terroir bônois aux tomates fraîches, extrêmement savoureux accompagné toujours de pain maison bônois à la fleur d'oranger*. Lorsque les haricots verts son en primeurs et donc assez onéreux et s'il y a une fête à la maison, la maîtresse de maison se fait le plaisir de le présenter au milieu des plats de viande à ses invités. C'est aussi un plat très apprécié à Mouharram ( l'Hégire ). Déjà décliné sur le blog en plusieurs versions.... Marka de : plat en sauce, ragoût ou tajine.

Les farfels sont des pâtes fraîches à la semoule faites maison de la cuisine pieds noirs bônois. Des pâtes faciles à réaliser pour consommer sur place. Ces farfels supportent une cuisson plus ou moins longue sans se défaire grâce à la semoule. On s'en sert pour des plats de pâtes à la sauce tomate ainsi que pour épaissir les soupes de légumes. Vous êtes en vacances et vous êtes loin des commerces et vous aimerez bien manger des pâtes pour changer. généralement lorsqu'on part en vacances en location, on prend de la semoule pour faire de la galette, la farine pour réaliser des gâteaux simples pour les goûters, du café, du thé et du sucre entre autres. Lorsqu'on est en vacances dans des cabanons au bord de la mer, on cuisine souvent pour ne pas dire toujours, c'est bien plus pratique lorsqu'on ne prévoit pas de sorties. Comme on le sait, la cuisine pieds noirs juifs ou autres nationalités est une cuisine influencée par la cuisine nord-africaine et des pays du moyen Orient ainsi que de la cuisine des Balkans forcement du fait de l'influence ottomane. Pour les pâtes fraîches, traditionnellement, la cuisine authentique du terroir bônois utilise toujours de la semoule qui a été remplacée par de la farine par les pieds noirs seule la semoule de blé dur était utilisée avant l'introduction de la farine dans notre cuisine.

Patrick Asfaux est le chef étoilé du restaurant familial « Sousceyrac » à Paris, qu’il a tenu pendant 30 ans. Il est également co-auteur du site gastronomique Aftouch-cuisine, désigné meilleur site gastronomique français en 2017 par l’Académie Nationale de Cuisine et l’Association des « Cuisiniers Français ». Si vous allez vous y promener, vous découvrirez une multitude de recettes, des conseils, des explications simples et une cuisine qui s’attache aux produits du terroir et aux traditions culinaires. J’y ai découvert la recette que je vous propose aujourd’hui, une recette authentique, incroyablement savoureuse où la douceur de l'aubergine est bien équilibrée par le basilic et les anchois. C’est une entrée que l’on peut servir aussi bien chaude que tiède ou bien froide, un régal bien frais pour l’été, accompagné, comme le conseille le Chef, d’un coulis de poivrons rouges ou de tomates.

Sur le blog, il y a trois versions de haricots de mer en sauce rouge et blanche au citron, là ce sont les tellines ou haricots de mer que je présente généralement accompagnés d'une omelette aux olives noires noires par habitude et pour en faire un repas complet sans avoir à me creuser la tête pour l'accompagnement. Les haricots de mer étaient souvent servis en apéritif ( kémia ) avec des frites dans le temps. Les olives noires apportent de belles saveurs à l'omelette. Il faut prendre de grosses tellines, les petites ne doivent pas être récoltées en principe car non matures. Les haricots de mer sont très appréciés par les anciens de Bône, ils étaient vendus à la criée par des hommes qui les transportaient dans de grands paniers en rafia naturelle tressée sur des bicyclettes, les paniers étaient tapissés de toile de jute qui couvrait en même temps les tellines pour les garder au frais, ils passaient dans tous les quartiers de la ville antique, la mesure était des boites de conserves vides, et chaque ménagère prenait ce dont elle avait besoin.

Riz au lait nature et rustique de mon enfance, au lait de vache entier tout frais, sans aucun arôme et que nous mangions à l'époque généralement au souper parfois pour le goûter. Ce n'était pas un dessert chez nous mais bel et bien un repas du soir dans la cuisine du terroir bônois d'antan. On adorait. Maman ajoutait toujours du lait en poudre pour que le riz soit crémeux et le laissait cuire longtemps jusqu'à ce qu'il soit onctueux, il prend du temps à cuire et au final c'est un réel plaisir pour le palais.

Des pâtes coquillettes à l'arabe au poulet fermier aux pois chiches, makarouna arbi façon grand-mère, plat relevé du quotidien, traditionnellement à l'agneau, aux côtelettes, aux boulettes... Toutes les formes de pâtes sont utilisées, épicées au carvi-coriandre et piment oiseau, c'est un plat très savoureux qui tient au corps particulièrement en hiver.

Envie d'une brioche salée pour l'apéritif ? Testez cette recette de terroir de pompe aux grattons d'Auvergne.

Envie de découvrir une spécialité originale sucrée salée venue d'Auvergne ? Testez ces cakes aux myrtilles et fourme d'Ambert.

Souvent méconnues et boudées à tort, les joues de porc à la bière font partie de ces plats qui, mijotés longuement, développent un incroyable fondant. Il faut donc prévoir un peu de temps devant soi pour leur mijotage dans une cocotte en fonte, mais une fois dans leur petit bain, vous aurez tout loisir d'occuper votre temps agréablement. J'ai choisi de les cuisiner dans une bière blonde et d'en concocter une bonne sauce brune, relevée d'une note d'estragon frais du jardin et de moutarde à l'ancienne. Ces joues de porc à la bière s'accompagnent à merveille d'une bonne purée de céleri, ou de tagliatelles et légumes au four...