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Recette exquise de travers de porc à la citronnelle et au gingembre, une spécialité de la cuisine asiatique.

Le kimchi de chou chinois est l’un des piliers de la gastronomie coréenne. Ce met lacto-fermenté à base de chou chinois et d’épices est utilisé comme condiment d’accompagnement d’un plat. Il existe des centaines de recettes de kimchi de chou mais Il y a plus de 180 variétés reconnues. J’ai réalisé la mienne en compilant tout ce que j’ai pu trouver sur le sujet et en fonction des mes goûts, mais en restant le plus près possible de la recette d’origine et traditionnelle. L’originalité de ma recette est d’utiliser un levain de gingembre et une tranche de pain au levain pour accélérer la processus de fermentation et de rehausser le goût.

En France le kimchi de chou chinois est de plus en plus populaire. Le kimchi de concombre mérite tout autant à être connu. La recette est également basée sur la lactofermentation du légume, la liste des ingrédients est légèrement différente. Comme pour la recette du kimchi de chou, j’ai utilisé un levain de gingembre pour booster la fermentation. Pour une version végane, la sauce soja remplacera la sauce poisson, et c’est tout aussi délicieux.

Lancez vous, découvrez les bienfaits et les saveurs des légumes lactofermentés. Personnalisez cette recette, en ajoutant par exemple des radis blanc, noir ou rouge, une pomme ou un nashi. Je préfère cette version avec le concombre découpé en fines rondelles aux recettes où il est découpé en gros morceaux. Les saveurs se trouvent ainsi plus exaltées.

Si vous êtes allergique au sésame, remplacer le par des graines de tournesol et de l’huile de pistache ou de noisette.

Du potimarron rôti au four, pour former un crémeux à slurper sans modération !

Un délicieux bouillon à faire et refaire, une recette idéale pour un repas complet, light et pourtant plein de saveurs. N'oubliez pas la coriandre !

Ma sœur et moi échangeons nos recettes par blogs interposés. C'est en lisant le commentaire sur la recette de spareribs - des travers de porc - sur le blog de ma sœur que j'ai eu envie de préparer sa recette. Sauf qu'elle l'avait préparée dans un "Slowcooker" appelée également "Crockpot" ou "Mijoteuse" et je n'en ai pas. Il s'agit d'un appareil électrique qui maintient une température relativement basse, permettant la cuisson sans surveillance pendant de nombreuses heures de rôtis, ragoûts, soupes et maintient au chaud sans déshydratation entre autres.

En parlant de cette recette à une amie elle m'a dit qu'elle avait un Crockpot et qu'elle pourrait me le prêter. J'étais très contente car cela me permettait d'essayer cet appareil avant de l'acheter éventuellement. Mon amie tout comme ma sœur en est très contente. J'avoue qu'après cet essai je suis assez tentée par l'achat.

En Hollande, nous avons une variété de poires qu'on utilise uniquement pour cuire : "Gieser Wildeman". Elles sont dures comme une pierre et pas consommables crues. Un jour j'ai vu une variété de poires à cuire au Grand Frais : "Martin Sec". Pour cette recette j'ai utilisé des poires ramenées de Hollande.

Elles ont un peu plus de goût que les épinards européens. Elles possèdent une légère amertume mais ce n’est pas du tout désagréable. Si tu les consommes crues, c’est mieux de les mélanger avec d’autres feuilles, un peu comme la roquette.

Des biscuits inspirés des pains d'épices alsaciens