VEB

Que faire avec des restes de rôti de jambon de porc ? Les recycler en un porc à la sauce soja accompagné d’un risotto. A la maison on adore la cuisine asiatique car elle est très parfumée. La viande de porc mal assaisonnée est assez fade, grâce au gingembre, citronnelle et la sauce soja et nuoc-mam, la saveur était là. Une belle façon de sublimer des restes de viande de porc.

Que faire avec un reste de purée de pommes de terre ? Un reste de purée de pommes de terre transformé en bouchées délicieuses à dévorer à l'heure de l'apéro ! A disposer sur un nid de salade verte et de feuilles d’épinards braisées. Délicieuses ces petites mignardises salées composées de restes !

J’ai la chance de compter parmi mes connaissances, un ami chasseur. Il m’a offert quelques morceaux choisis, dont cette gigue (cuisse) de chevreuil. Cette viande aux saveurs fines et délicates, trônera avec délice sur nos tables de fêtes. J’ai opté pour une version simple, en cuisant ma viande au four.

En principe pour les ris de veau, il faut un assaisonnement relevé afin de les mettre en valeur, nature, c’est tout de même assez fade. Cette sauce est crémeuse à souhait avec sa crème végétale, du poivre de sichuan pour le peps et pour que ma recette soit à la fête, je l’ai truffée des cèpes offerts généreusement par mes copines..En résumé une sauce onctueuse, savoureuse pour napper des pâtes ou du riz avec.

Une délicieuse bûche à la crème au chocolat, glacée aux suchards. Facile, irrésistible ! Une génoise garnie d’une ganache et recouverte de rochers suchard fondus. Je l’ai parsemé de pralin pour donner un croquant à l’intérieur mais même sans, cette bûche sera bonne.

La sauce aux airelles est une sauce que je confectionne pendant les fêtes lorsque je cuisine de la volaille, oie ou canard …Toutes les viandes blanches se trouvent rehaussées avec cette sauce aux airelles... Son côté acidulé contrebalancé par le miel est un petit délice.

J’ai la chance d’avoir parmi mes connaissances, un copain chasseur qui me régale souvent de faisans ou comme cette fois-ci de quelques morceaux choisis de chevreuil. La viande a un goût vraiment fin que j’ai aussitôt transformé en civet selon la recette de son épouse qui me l’a gentiment reproduite sur un bout de bristol. Mes goûteurs ont apprécié.

Un osso bucco truffé d'épices signé par le roi des épices justement, Mr Ottolenghi ! Un délice vite préparé, c’est le temps de cuisson qui est le plus long. Un conseil, un seul, ne passez pas à côté de cette merveille gustative. J’ai servi ce plat avec un mejadra, du riz, des lentilles et des oignons frits.

Pour cette version que j’ai servie le 24 décembre dernier comme entrée, mes vols au vent étaient truffés de ris de veau et de girolles avec un côté peps apporté par le citron. Une condition pour cette recette : aimer les ris de veau ! Si c'est le cas, c'est l'entrée qu'il vous faut.

Comment un fruit aussi cabossé, peut être aussi bon....confit avec amour. Il me l'a rendu au centuple sieur cédrat. On pourra le déguster comme les orangettes ou en parfumer un gâteau ou une brioche. Un délice parfumé délicatement translucide comme un vitrail.

Pour la première recette de l’année, voici un compromis parfait entre la galette des rois à la frangipane et la brioche bordelaise pour ceux qui ne savent pas choisir entre les deux pour l'épiphanie. On obtient une brioche dodue garnie d’une crème d’amandes.

La recette de la génoise est vraiment délicieuse. Avec cette recette pas besoin d’enrouler dans un torchon humide, le gâteau reste souple et moelleux. La génoise de la bûche se roule sans difficulté. On prépare la crème la veille ou tôt le matin pour confectionner le biscuit quelques heures plus tard. Vraiment facile et surtout riche en goût.

Des macarons moches et ratés recyclés en un délicieux biscuit, amaretti !

Si tout est bon dans le cochon on peut appliquer l’adage au canard. Je vous propose donc un cou de canard farci aux morilles et foie gras et stérilisé ! Le contenant est la peau de cou du canard, la farce est fine : morille, canard et foie gras. Une entrée festive !

C’est un classique que nous adorons à la maison, une verrine sans prétention au montage ultra rapide. Je l’ai servi pour l’apéro-entrée du repas de Pâques, accompagnée d’un oeuf mayonnaise selon Mr Ducasse et d’une tartine feuilletée aux rillettes de poisson. C’était frais, simple et vraiment bon.

Durant les fêtes je me suis lâchée en m’offrant un magnifique ouvrage. C’est là où l’on sent le talent de l’auteur, boucher et meilleur ouvrier de france, deux ingrédients pour mettre en valeur cette canette, rien de moins, rien de plus. Pour en faire un plat complet, j’ai disposé sous ma canette des potimarrons qui ont cuit avec la graisse de la canette. Vraiment facile, bluffant, facile !

Faut dégoter un pigeon, le farcir, l'entourer de petit pois et de votre tendresse. Vous verrez, il vous le rendra au centuple. Une recette relativement facile, une farce qu’on fait revenir, qu’on pulse, on farci la bête et zou au four. Ce plat peut trôner sans conteste sur nos futures tables festives.

Il faut se le dire, le faisan qui est une poule sauvage, a gambadé. Il a la chair ferme, et un goût tout de même prononcé qui peut rebuter certains. Chez moi ce n’est pas le cas, il est apprécié. Si vous le cuisinez à l’étouffée et en sauce, la saveur un brin faisandée est très présente. Si on le rôti, la saveur « faisandée » sera nettement moins prononcée. Je l’ai associé à des fruits de saison, coing et pommes arrosé de cidre. Accompagné de pommes de terre vapeur ou de semoule de couscous, voici un plat complet. Ne vous reste plus qu’à dénicher un faisan !