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Pour changer de l'habituel boudin/purée, le boudin noir s'agrémente de haricots blancs doucement mijotés agrémentés de carotte et de potiron, selon une recette de chef Patrick Asfaux.

Un gâteau festif pour noël !

Le parmentier revêt des parfums d'automne avec cette version de parmentier au boudin noir et potiron, parsemé de pain d'épice émietté

Découvrez comment réaliser facilement une ganache au chocolat sans vous tromper grâce à ma recette pas à pas. Vous ne pourrez pas la rater !

Riz noir vénéré cuit à la poêle avec de l'huile d'olive, de l'ail et des tomates confites

Le lièvre à la royale est souvent décrit comme un monument de la gastronomie française. On relate sans cesse la même légende ; celle du vieux Louis XIV, de la perte précoce de ses dents et de ses cuisiniers ingénieux qui inventèrent ce plat royal et mythique.

Il faut dire qu’en France lorsqu’il est question de monarchie on pense irrémédiablement à Louis XIV, comme si l’avant et l’après n’avaient pas tout à fait existé. Les articles sur le sujet viennent conclure en parlant d’une prétendue lutte entre la version de Marie- Antoine Carême et celle de Aristide couteaux (un sénateur semble-t-il​ plus connu pour sa gourmandise que pour la politique qu’il menait. Mais n’est-ce pas là le propre des sénateurs ?). Il est de bon ton, aujourd’hui de prétendre préférer l’une à l’autre. Les techniciens vantent Carême, les puristes du produit et du goût s’acharnent à défendre Couteaux. Rappelons aux profanes que ni l’un ni l’autre ne sont contemporains du vieux Louis.

François Pierre de la Varenne et son ouvrage le Cuisinier François ou Pierre de Lune, cuisiniers du Grand Siècle ne font nulle mention de pareille recette. Chez eux les levreaux sont bardés et bien rôtis comme il était d’usage de le faire à la cour de France. Louis les mangeait-il peut-être au pot plutôt qu’à la broche, bien noirs et bien confits mais alors pourquoi parler de lièvre à la royale plutôt que simplement de civet, une recette déjà bien connue ?

Vous cherchez une recette de curry rouge de gambas, patates douces sautées et son riz blanc et noir ? Pourquoi ne pas essayer celle-ci ?

J’avais réalisé cette bûche l’année dernière pour mes 2 filles, Mélissa (11 ans) et Célia (3 ans) et les 2 filles de mon chéri, Gwendoline (10 ans) et capucine (8 ans). La décoration leur avait beaucoup plu !

Les gâteaux simples sont parfois les meilleurs … Je vous propose ainsi une recette de quatre-quarts aux pépites de chocolat noir (et oui, il ne faut pas que cela soit trop simple non plus !).