Les festivités du Carnaval de Venise ayant débuté vendredi dernier, c’est l’occasion pour moi de vous présenter les « castagnole » (châtaignes), des petites douceurs typiques de la période de carnaval en Vénétie et plus globalement dans les régions du Nord et du Centre de l’Italie.
Ces petites boules de pâte aromatisées au zeste de citron sont faciles à réaliser puisqu’elles sont simplement frites, puis roulées dans du sucre en poudre. L’extérieur est croustillant et doré alors que l’intérieur est fondant et friable. C’est tellement bon que ça se déguste comme un rien.
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A savourer en compagnie des Kiss - I Was Made For Lovin' You
Un vin doux pétillant ou un marsala accompagneront parfaitement ces douceurs, tandis qu’un thé à la vanille ou un jus d’orange frais offriront une alternative légère et fruitée.
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Aujourd’hui, c’est Mardi Gras, on sort les crêpières, les poêles à frire pour préparer et déguster de délicieuses crêpes et beignets ! Pour l’occasion, j’ai piqué la recette des oreillettes de Cyril Lignac sur le blog de Christelle - La Cuisine de Poupoule. Ce sont des beignets croustillants et moelleux parfumés à l’eau de fleur d’oranger et au citron. Plus vous étalerez la pâte fine, plus ils seront croustillants. Les miens étaient croquants et moelleux et une fois saupoudrés de sucre glace, ils ont été vite dévorés !
Ce délicieux mezzé que j’avais réalisé pour un apéritif dînatoire fait partie des incontournables de la street food turque et notamment d’Istanbul où les moules sont abondantes sur les rives du Bosphore.
Les moules sont d’abord passées dans la farine, puis dans une pâte à beignets avant d'être frites. Bien croustillantes, elles sont ensuite servies juste saupoudrées d’un peu de sel et accompagnées d’une sauce tarator à base de noix, de yaourt, d’ail et de pain rassis (celle du Liban est à base de Tahini).
Ce gâteau bien coloré de Mardi gras est une sorte de brioche fourrée d’une préparation à la cannelle et au sucre et/ou d’une autre, au fromage à la crème. Après cuisson, il est recouvert de glaçage, puis saupoudré de sucres colorés. On y glisse un petit bébé en plastique, un haricot sec ou une noix de pécan. Celle où celui qui tombe sur la part contenant cette « fève » est désigné reine ou roi de la journée.
Ce n’est pas sans rappeler notre royaume des rois, et pour cause, la tradition du King cake serait née de la venue des immigrants français à la Nouvelle-Orléans. Bien différent de la brioche, il est alors fabriqué par les boulangers pour la saison du carnaval dont il revêt les couleurs : l’or pour le pouvoir, le vert pour la foi et le violet pour la justice.
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