Recherche

Je vous propose aujourd'hui la recette du sauté de poulet aux gros piments qui est un plat typiquement réunionnais apprécié de tous. Cette recette créole d'origine asiatique est une adaptation locale du Shop suey de poulet traditionnel. À la Réunion, le sauté de poulet gros piment à l'asiatique change aussi du sempiternel cari de poulet national. On prépare une marinade pour que les morceaux de poulet deviennent fondants en bouche. On les associe avec des gros piments qui ont une force raisonnable et donc facilement mangeable. En métropole, vous utiliserez des piments doux "corne de bœuf' dont vous retirerez les graines pour qu'il soit moins puissant en bouche. Le poulet gros piment est un plat créole délicieux que vous accompagnerez, bien sûr, de riz blanc nature et d'un rougail tomates éventuellement.

Préparation du corned beef à la créole aussi appelé cari boite boeuf localement. recette de corned beef façon réunionnaise facile a cuisiner.

Faisons honneur à ces beaux petits fruits que nous pouvons nous procurer localement en Alsace et dont la récolte commence : les quetsches. Comme me l'a appris ma grand-mère, j'ai pour tradition de faire une fois pendant la saison, une bonne tarte aux quetsches alsacienne. Cela rythme mes saisons. Un classique me direz-vous que cette tarte aux quetsches alsacienne ! Peut-être... mais un classique terriblement bon ! et se pourrait-il que tout le monde n'en détienne pas la recette ? Voilà qui est chose faite ; je la partage avec vous Tous(tes) avec très grand plaisir...

Le couscous est, avec le tajine, l'un des plats emblématiques de la cuisine traditionnelle du Maghreb, cuisiné selon de multiples déclinaisons régionales, culturelles locales et familiales. Vous trouverez ci-après la recette pas à pas du couscous aux 7 légumes, et les secrets pour réussir une cuisson parfaite de la semoule.

Voici une chakchouka aux poireaux, épinards, pois chiches, feta et oeufs qui m’a fait de l’oeil. Elle est extraite du livre de Delphine Lebrun dis, on mange quoi ce soir ? pois chiches, lentilles et Cie. Toutes ses recettes se font à partir de conserves. Moi, j’ai cuit une grosse quantité de pois chiches et en ai congelés une bonne partie. Je trouve que cela revient bien moins cher. On peut choisir la qualité des produits quand on les achètent bruts. Les pois chiches étant de plus en plus cultivés par les agriculteurs, il est facile d’en trouver des bio locaux. Ce plat est vraiment complet. Vous pouvez l’adapter en fonction de ce que vous avez: ne mettre que des poireaux si vous n’avez pas d’épinards, remplacer la fêta par de l’emmental ou du gruyère, les pois chiches par des haricots blancs …. Je vous laisse gérer, je suis sûre que tout sera parfait

Même si la récolte des oranges de mon jardin a été moins généreuse cet hiver j'ai pu profiter quand-même de quelques belles oranges. Il semblerait que la récolte moins généreuse que les autres hivers soit imputable à la sécheresse dans notre région. Le ministre de la Transition écologique s'est même déplacé récemment pour trouver des solutions avec les autorités locales. Il annonce que l'État va cofinancer une étude avec la Région, pour savoir s'il est opportun de prolonger de tuyau du Rhône jusqu'au pays catalan. Sur ma photo vous pouvez donc voir les fruits de mon jardin : la mousse à l'orange et le mimosa qui a fleuri abondamment en février/mars.

Encore une recette qui nous fait voyager ! Cette fois-ci, nous partons en Géorgie (pays frontalier de la Russie et de l'Arménie, sur les bords de la mer Noire) avec cette spécialité locale le Khachapuri. Plat national, on le retrouve en mode Street Food comme dans les restaurants. Il semble que c’est l’ancêtre de la Pizza ? A vérifier... Il se compose d’une pâte à pain au yaourt très moelleuse aplatie sous forme de canoë farcie de fromage feta et de mozzarella, les deux fromages qui se rapprochent de ceux traditionnellement utilisés. Il existe plusieurs Khatchapuri : *Khatchapouri imérétien (la forme classique) : imerouli *Khatchapouri adjarien (en forme de bateau, avec un œuf) : adjarouli *Khatchapouri mingrélien (comprend plusieurs sortes de fromages, et du yaourt) : megrouli. *Khatchapouri svane (avec de la farine de millet) : svanouri. *Khatchapouri de la région de Ratcha (de forme rectangulaire) : rachuli. *Khatchapouri de la région de Samtskhé-Djavakhétie (avec une pâte feuilletée) : penovani. *Khatchapouri laze : pareil au mingrélien, avec des tranches de soulgouni fondu. Ici, je suis partie sur la version Adjarouli. Pour vous aider, une petite vidéo est dispo sur mes réseaux.

Voici une tarte dont sa réputation n'est plus à faire. Mais lorsque l'on décide de la réaliser, il en existe tellement de recettes dans les ouvrages ou sur le net qu'il n'est pas évident de bien choisir pour être à peu près certain d'avoir en résultat celle que l'on attend esthétiquement ou gustativement. Je ne vais pas vous dire que celle que je vous présente est la vraie ou la meilleure comme l'on voit souvent en intitulé sur les sites de pâtisserie, histoire de vous appâter et vous amener à cliquer sur le lien. Ma recette vient d'un de mes ouvrages qui regroupe tous les gâteaux les plus connus qui font notre patrimoine gourmand, des incontournables de nos régions. Les quelques 60 recettes du livre ont été écrites par des artisans locaux, épris d'une grande passion pour perpétuer ces richesses sucrées, parfumées et garnies.

La version originale traditionnelle ne contient pas d'ail, de curcuma ou de gingembre parce que les saucisses locales sont déjà très parfumées. En France métropolitaine, on ne trouve pas ce type de saucisses ou difficilement. C'est la raison pour laquelle vous remarquerez que je parle d'ail, de gingembre et de curcuma pour mon rougail saucisse aux lentilles et riz nature. Je vous conseille vivement d'en utiliser pour obtenir un rougail saucisse riche en saveurs. De plus, le curcuma étant une épice santé, j'en utilise dès que possible.