En cuisine, le lapin est classé dans la volaille puisque faisant partie des animaux de basse-cour. Quoique de Basse-cour il n’existe plus sauf dans les albums de « Martine à la ferme ». Sacré bon vivant, il se nourrit d’à peu près n’importe quels végétaux et applique les recommandations divines à la lettre en se reproduisant plus que de raison. Pourtant sa consommation reste assez faible aujourd'hui malgré les qualités de sa chair délicate, peu grasse et riche en protéines.
Pour bien cuisiner le lapin vous devrez privilégier les cuissons lentes et douces à couvert qui auront l'avantage de garder la chair moelleuse. Délicieux en terrine ou en gelée le lapin fait aussi partie des viandes du fameux potjevleesh.
Cette recette est à l’origine de Gérard Rabaey, je l’ai souvent préparée dans les cuisines du Pont de Brent. Mais pour vous aujourd’hui, je l’ai agrémentée d’un petit ragoût de côtes de bettes aux tomates séchées et…pignons de pins!
Tout le monde connait le poulet basquaise... et moi j'adore ça ! C'est pourquoi j'ai réalisé cette recette mais avec du lapin histoire de changer un peu des habitudes.
La Malheur est une bière belge et quand elle s'allie au lapin autant vous dire qu'elle fait...un malheur ! Vous pourrez servir votre lapin avec un écrasé de pommes de terre et une bonne salade de mâche.
Des pâtes fourrés d'une farce gourmande au lapin, à la tomate et aux herbes. Une recette surprenante et tellement savoureuse ! Très simple à réaliser, elle plaira à toute la famille.
Un lapin moelleux et parfumé. Servir dans des assiettes chaudes avec des pommes de terre sautées, des penne ou des tagliatelles. Le cognac et le Pineau donnent une note sucrée à cette recette.
Un plat unique, plutôt simple, mais empli de saveurs différentes. Bref, une bonne manière de souhaiter la bienvenue au printemps avec ce lapin au citron et au gingembre.
Quand on y a goûté, elle a forcément un petit air de revenez-y avec son mélange de safran, de fenouil, d’anis sans oublier sa petite mayonnaise à l’ail...Et pour celles et ceux qui n’apprécient pas le lapin, on peut toujours le remplacer par du poulet, c’est tout aussi bon !
Cette recette était vraiment un essai, mais il fût transformé. Le lapin est relevé et acidulé juste ce qu'il faut avec le citron et le parmesan ajoute une touche de gourmandise. Amateurs de bons goûts, suivez moi.
Idéale pour les en-cas, l'apéritif et les sandwiches la terrine maison, quelle soit de lapin ou autre viande est rarement absente de la carte des restaurants de type bistrot ou brasserie. Généralement proposée en entrée froide, elle est servie avec un bon pain et des pickles au vinaigre.
En terrine, au four, en curry ou en tajine, le lapin se cuisine de mille façons.
Avec une chair très fine, le lapin a depuis longtemps de nombreux amateurs.
A vos photos...
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